8 mars 2010
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J'ai une addiction.
Une vraie, qui est aussi compulsive (je suis foutue).
C'est celle d'acheter des livres.
J'ai déjà une PAL (une pile à lire) au pied de mon lit, mais je ne peux pas m'empêcher d'en acheter d'autres.
Des fois que les allemands reviennent, et qui en plus de rationner la nourriture, m'oblige à rationner ma lecture.
Pour la nourriture, c'est pareil hein, pas de placard ni de frigo vides, c'est au dessus de mes forces.
Alors samedi après-midi, lors de ce moment que j'adore, à savoir une flanerie dans les rues commerçantes bisontines, j'ai été aimantée par la librairie.
Faut dire qu'à ma décharge, depuis que j'ai intallé Orange mécanique dans ma télévision, j'ai rendez vous le jeudi soir avec une émission littéraire sur France 5.
J'adore les émissions littéraires, surtout si elles ne sont pas diffusées en 3e partie de soirée.
Et là, jeudi dernier, était invité Régis Jauffret (ainsi qu'Eric-Emmanuel Schmitt, Harlan Coben et Véronique Olmi).
Cette émission dure une grosse heure, de quoi satisfaire tout à fait le début de ma digestion, après le petit dessert qui va bien.
Je mets le lien dans la colonne de droite.
Alors samedi, j'ai cherché des bouquins de Régis Jauffret, j'en avais déjà acheté et lu un, qui ne m'avait pas tellement plu d'ailleurs.
Et j'en ai trouvé.
Et j'en ai acheté deux (dont Microfictions, qui est aussi lourd qu'un dictionnaire).
Dire que j'ai failli acheter le dernier livre d'Eric Emmanuel Schmitt, et des autres aussi, je suis bien obligée de l'avouer.
Les allemands peuvent revenir, je crois que je suis équipée.
Mais ce serait bien qu'ils préviennent quand même, avant.