15 octobre 2008
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08:00
Pour ceusses et celles qui connaissent mon addiction
télévisuelle, vous ne serez pas étonnés que je vous parle de certaines émissions que j'aime bien...
Aujourd'hui, je vous parle du Grand Journal de Canal+.
Diffusé en direct, du lundi au vendredi, cette émission est animée par Michel Denisot (top la classe!), et a le mérite de ne pas nécessiter un décodeur (ouf).
Dans la première partie, un invité (souvent politique) intervient sous la houlette de J.Michel Apathie (interviewer le matin sur RTL, on se demande comment il tient la cadence le bougre).
J'aime la pertinence de ses questions, sa façon de titiller son invité, de le pousser dans ses retranchements, tout en faisant preuve de respect et d'élegance, et avec un joli accent du sud-ouest.
Michel Denisot anime le débat, et Ariane Massenet joue les troublions au milieu de tout ça (elle a beau être blonde, ses interventions tombent toujours à pique).
Viennent ensuite d'autres chroniques, une chronique littéraire animée par Ali Badou, normalien et agrégé de lettres modernes (il fut le compagnon de Mazarine Pingeot, on ne peut pas être parfait non plus).
Ce jeune homme vous donne envie de lire des livres (il peut susciter d'autres fantasmes, c'est pas défendu), et maîtrise bien son sujet (il est chroniqueur le matin sur France Culture, total respect).
On retrouve aussi d'autres interventions plus décalées, à savoir celles de Yann Barthès, la météo de la miss, la rubrique cinéma de Laurent Weil, rubrique internationale de Marie Calmant, la chronique musicale de Tania Bruno-Russo (DJ à ses heures)...tout ça dans un joyeux bazar organisé.
J'oublie pas les Guignols, et la rubrique de Bruno Donnet, le vendredi, qui fait un récap de l'actu de la semaine (j'aimerais bien avoir son talent).
Fraise sur le cheesecake, on peut même avoir droit à des interventions musicales "en live".
Y parait que le JT de TF1 dégringole, malgré la "fraicheur " toute relative de Laurence Ferrari (c'est PPDA qui rigole, il me l'a dit).
En même temps, le Grand Journal gagne de l'audience, et moi je suis ravie.
Parce que, c'est pas parce que l'on est des enfants du bon Dieu, qu'il faut nous prendre pour des canards sauvages...
Aujourd'hui, je vous parle du Grand Journal de Canal+.
Diffusé en direct, du lundi au vendredi, cette émission est animée par Michel Denisot (top la classe!), et a le mérite de ne pas nécessiter un décodeur (ouf).
Dans la première partie, un invité (souvent politique) intervient sous la houlette de J.Michel Apathie (interviewer le matin sur RTL, on se demande comment il tient la cadence le bougre).
J'aime la pertinence de ses questions, sa façon de titiller son invité, de le pousser dans ses retranchements, tout en faisant preuve de respect et d'élegance, et avec un joli accent du sud-ouest.
Michel Denisot anime le débat, et Ariane Massenet joue les troublions au milieu de tout ça (elle a beau être blonde, ses interventions tombent toujours à pique).
Viennent ensuite d'autres chroniques, une chronique littéraire animée par Ali Badou, normalien et agrégé de lettres modernes (il fut le compagnon de Mazarine Pingeot, on ne peut pas être parfait non plus).
Ce jeune homme vous donne envie de lire des livres (il peut susciter d'autres fantasmes, c'est pas défendu), et maîtrise bien son sujet (il est chroniqueur le matin sur France Culture, total respect).
On retrouve aussi d'autres interventions plus décalées, à savoir celles de Yann Barthès, la météo de la miss, la rubrique cinéma de Laurent Weil, rubrique internationale de Marie Calmant, la chronique musicale de Tania Bruno-Russo (DJ à ses heures)...tout ça dans un joyeux bazar organisé.
J'oublie pas les Guignols, et la rubrique de Bruno Donnet, le vendredi, qui fait un récap de l'actu de la semaine (j'aimerais bien avoir son talent).
Fraise sur le cheesecake, on peut même avoir droit à des interventions musicales "en live".
Y parait que le JT de TF1 dégringole, malgré la "fraicheur " toute relative de Laurence Ferrari (c'est PPDA qui rigole, il me l'a dit).
En même temps, le Grand Journal gagne de l'audience, et moi je suis ravie.
Parce que, c'est pas parce que l'on est des enfants du bon Dieu, qu'il faut nous prendre pour des canards sauvages...