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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 08:00

 

 

 

L'avantage d'avoir des amis, c'est qu'ils vous connaissent bien (en principe).

 

En fait les vrais amis font attention à vous, et retiennent ce qui vous est cher à votre coeur.

 

Une fois ce constat fait, vous pouvez ainsi faire le tri dans vos connaissances, et ainsi qualifier les véritables relations qui vous unissent.

 

Mes amis proches m'ont fait de chouettes cadeaux pour Noël.

 

Parmi eux, il y a un livre.

 

 

J'avais hâte de le lire, mais comme je suis un peu psychorigide, je voulais déjà finir celui que j'avais commencé (et qui parle du suicide, cf billet antérieur).

 

Je l'ai lu avec un grand plaisir, parce que les Beatles ont marqué mon adolescence, même si je ne suis pas née à la même époque que Lennon (je suis beaucoup plus jeune).

 

Et l'auteur, David Foenkinos, m'a déjà beaucoup plu au travers de ses livres (je l'ai rencontré en vrai, il est très charmant).

 

 

 

Dans ce livre, Lennon parle à la première personne; l'auteur a imaginé les confessions du créateur des Beatles et s'emparant d'une période méconnue de sa vie, il dresse un portrait intime et inédit.

 

J'ai vraiment eu l'impression que Lennon se livrait à moi (j'aime bien que l'on me fasse des confidences), et j'en ai appris davantage sur sa vie (une enfance terrible, quelle horreur).

 

Il avait très peu confiance en lui, mais paradoxalement ne doutait pas de son génie musical.

 

J'ai passé un bon moment avec ce livre, et je remercie ainsi la personne qui a eu la délicatesse de me l'offrir.

 

 

 

 

 

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 08:00

 

Dernier film de Sophia Copolla, récemment sorti en salle.

 

 

L'histoire, en deux mots : une star de cinéma, qui réalise que sa vie telle qu'elle est, n'est certainement pas la meilleure qui soit.

C'est surtout la venue de sa fille, qui passe quelques jours avec lui qui lui fait en prendre conscience.

Surtout lorsqu'elle lui dit qu'il n'est jamais là.

 

 

Voilà.

 

Certaines mauvaises langues diront qu'il n'y a pas de quoi faire un fim de 1h38 minutes.

Cependant, j'ai bien aimé ce film (malgré quelques longueurs, c'est vrai).

 

Sophia Copolla ne méritait certainement pas un Lion d'Or pour ce film (remis par son pote Quentin Tarantino, ceci explique sans doute cela).

 

The cast of Sofia Coppola's new film "Somewhere" films in Milan.

 

 

J'ai passé un bon moment.

  

A part que mon voisin de gauche sentait sérieusement la friture.

 

Voir le poisson crevé.

 

Et que c'était très gênant (voire écoeurant).

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 08:00

 

 

 

 

Quand je regarde les stats de mon blog, je constate qu'il y a à peu près toujours le même nombre de lecteurs chaque jour.

 

Sauf que peu de lecteurs commentent (à mon goût, snif).

 

 

 

Et comme je suis un peu curieuse sur les bords, j'aimerais bien en savoir davantage sur mes lecteurs (non, mes chevilles n'enflent pas).

 

Alors, on va la faire courte et simple.

 

Vous me dites en quelques mots:

 

- votre âge

- comment vous êtes arrivé(e) jusqu'à moi

- pourquoi vous revenez ici (j'ose espérer que ça arrive)

- vos centres d'intérêt

 

Bref, vous êtes libres...à vous !

 

PS : NDLR, cette petite enquête n'a aucun but intéressé, encore moins de dragouiller (au mieux, on pourra aller faire des bébés sur MSN).

 

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 08:00

 

 

Cette fois, je suis mitigée à propos du livre que je viens de finir.

 

 

Encore une histoire suicide, alors que rien ne présageait un tel thème.

 

J'aime bien Régis Jauffret, alors je me suis jetée sur ce livre sans crier gare (en même temps, si j'avais crié, toute la librairie se serait retournée, sauf si j'étais bien sûr, au milieu d'une gare).

 

 

C'est la dernière couverture qui m'avait interpellé :

 

Je vous l'accorde, la vie est un interminable dimanche.

Où l'on s'ennuie, où l'on écorche les genoux aux rochers, où l'on se chamaille pour une pelle, une bouée, pour un seau, où l'on s'entre-tue, où l'on s'amuse à s'embrasser, où l'on construit des châteaux de sable en tournant le dos à la marée.

Mais j'imagine qu'à la fin de la journée, en fermant les yeux, on doit se dire : que c'est un merveilleux souvenir.

 

 

La première phrase
Chère Charlotte,

vous êtes morte sur un coup de tête d'une longue maladie.

Le suicide a déferlé sur vous comme une marée noire, et vous vous êtes pendue.

 

Tout au long du livre, on assiste à un dialogue entre Charlotte, et son amoureux.

Qu'elle invective et rabaisse, afin d'en tirer le meilleur de lui même (il est écrivain); comme si sa mort à elle ne devait pas rester sans une prise de hauteur de sa part à lui.

 

 

 

 

.

 

J'ai pas aimé, j'ai pas détesté.

 

Et pis il est temps que j'arrête avec les histoires de suicides, ça fait pas rigoler (comme si je lisais pour rire, tiens).

 

 

 

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 08:00

 

Hier, alors que je rentrais sagement d'une journée passée chez mes parents, quelqu'un m'a pris en photo.

 

Je ne suis pas dupe, personne ne se posterait le long de ma route, pour immortaliser cet instant, et mettre mon portrait sur son fond d'écran, en rentrant.

 

Je me suis fais flashée, je crois bien.

 

 

 

Cela m'a foutu en rogne, parce que je ne suis pas une conductrice imprudente pour autant.

 

Sauf que là, en sortant d'une portion de 2x2 voies, j'étais au delà de la vitesse autorisée.

 

Le temps était calme, pas trop de circulation alors que d'habitude à cette heure là, il y a du monde.

 

En plus, renseignements pris, ce radar est installé depuis la fin de l'année 2010, et je l'ignorais (t'avais qu'à regarder le panneau, diront les mauvaises langues).

 

Et bing!

 

J'ai déjà connu cette mésaventure l'été dernier (en plein jour, j'avais pas vu que j'étais flashée), et cela m'avait coûté : amende + 1 point (pour 1 km au delà de la vitesse autorisée, je fulminais déjà).

 

Y a pire dans la vie. 

 

Sauf que là, je suppose que je vais avoir droit au même traitement (si ce n'est pire), et que ça m'énerve, étant donné que j'ignorais l'existence de ce radar (je l'aurais su et aurais pris des risques, c'était bien fait pour moi).

 

PS : j'ai déjà regardé comment récupérer des points, faut faire un stage de 2 jours (qui coûte 245€)...

 

 

 

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14 janvier 2011 5 14 /01 /janvier /2011 08:00

 

 

On parle de livre aujourd'hui, encore.

 

Et le jour pour eux sera comme la nuit

 

 

J'ai lu ce petit livre, d'un trait, sans avoir envie de le lâcher.

 

Il s'agit de l'histoire d'un jeune homme qui se suicide, en se jetant par la fenêtre de l'immeuble qu'il occupe avec ses parents.

Vingt ans, sept étages.

 

Pourquoi un jeune homme, qui (pense t-on) a tout pour lui, met-il brutalement fin à ses jours?

Un père, une mère, une grande soeur et un petit frère cherchent à répondre à cette question déchirante : comment vivre sans Denis?

On ne sait rien de la mort, sauf qu'elle change des vies.

 

J'ai été touchée par ce livre, ayant vécu dans ma famille, un malheur du même genre.

Et je me demande souvent, comment la famille proche (de mon cousin), arrivent à supporter l'absence, et à comprendre son geste.

 

Ce livre donne malgré tout de l'espoir, puisque la douleur familiale s'apaise au fil du temps, et apprend à vivre autrement.

 

Je vous le recommande.

 

L'auteur, Ariane Bois, est grand reporter, spécialisée dans les sujets de société.

 

 

 

 

 

Et le jour sera pour eux comme la nuit a été récompensé du prix Premier Roman de la ville de Dijon et de la Bourse Thyde Monnier de lasociété des gens de lettres en 2009.

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 08:00
 
 
L'année dernière, je vous parlais de la culotte gainante (j'ai essayé, et approuvé).
Cette année, je louche sérieusement sur ce soutien gorge.
C'est pas mal, nan?
Et ça peut être aussi séduisant, même s'il y a tromperie sur la marchandise (inside).
Une petite façon de fêter le 100e billet dans la catégorie "humeurs" du blog!
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10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 08:00

 

 

Le mot du jour est : lapidaire.

 

A ne pas confondre avec lampadaire.

 

 

 

 

 

Lapidaire : adjectif qui signifie concis, laconique, ramassé.

 

 

Je me permets de vous donner la définition de ce mot, parce qu'il m'est arrivé une petite aventure à ce sujet.

 

Dernièrement, dans une conversation, ce mot est sorti de ma bouche.

 

Et au même moment, j'ai eu des doutes.

 

J'ai cru que j'avais parlé de lampadaire, ce qui était tout à fait inapproprié.

 

Alors, faites attention, la prochaine fois; je ne voudrais pas que pareille mésaventure vous arrive.

 

 

 

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 08:00

 

 

Bon, les jeunes, voici encore un dernier coup de coeur musical.

 

Je ne sais pourquoi j'aime tant ces rythmes qui me rappellent la soul des années 50...(ai-je vécu aux States, à cette époque là, dans une autre vie??)
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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 08:00

 

 

Quelle bonne idée de commencer l'année en allant au cinéma, non?

 

J'avais vu la bande annonce de ce film, et j'étais bien décidée à aller le voir (en entier).

 

 

 

Si je n'avais pas vu la bande annonce, c'est pas certain que j'aurais poussé la porte de la salle obscure.

 

A part pour Marie Josée Croze, que j'adore (comme actrice, je ne la connais pas personnellement, et je le regrette).

 

Mais franchement, la bande annonce était prometteuse, avec un Jean Dujardin, torturé (et beau gosse), et il est perturbé par l'arrivée de Marie Josée dans sa vie, qu'il croit reconnaitre en la personne d'une petite voisine dont il était amoureux, enfant.

 

L'intrigue est bien ficelée, et le dénouement inattendu (comme Jean Dujardin, que l'on a l'habitude de voir plutôt dans des rôles marrants).

 

J'ai passé un bon moment, complètement convaincue (même avant d'ailleurs) que les moments vécus pendant l'enfance reste gravés toute la vie.

 

 

 

Et pis Marie Josée Croze, si j'étais homo, j'en serais raide dingue (j'adore sa voix).

 

 

 

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